Une de mes découvertes (trop tardive) de cette année est la regrettée Chiwoniso Maraire.
Joueuse de Mbira et chanteuse à la voix étrangement légère et enveloppante à la fois, Chiwoniso avait tout à la fois un profond attachement à son pays mais sans cesser d’en critiquer les travers pour améliorer le vivre-ensemble. Sa musique est à son image : un intense partage !
Cet album dont la pochette a été faite par le peintre Misheck Masamvu est en fait un vinyle publié à titre posthume du dernier enregistrement studio de la chanteuse, avec Jacob Mafuleni son ami musicien. Il s’agit d’une reprise d’une chanson traditionnelle popularisée par Thomas Mapfumo.
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